Se rappeler pour vivre : Fuck me, Love me, Kill me

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Dernières critiques

  • Marina Otero
    Baz'art
    par Michelio

    Marina Otero explore l'âme et le corps

    Kill Me est un spectacle intense et dérangeant dans lequel Marina Otero, une figure de la scène alternative argentine, met en scène une exploration brutale de l'âme et du corps. 

  • Marina Otero
    ResMusica
    par Caroline Charron

    Avec Love me, Marina Otero se met à nu

    Dans le cadre du portrait qui lui est consacré au Théâtre du Rond-Point autour des trois volets de sa trilogie Recordar para vivir, Marina Otero se met à nu dans Love me pour réclamer l'amour.

  • Marina Otero
    L'EssentiART
    par Benoit Gaboriaud

    Kill Me, un show total : incontournable !

    Constamment sur le fil, Marina Otero avance brillamment, trouvant le parfait équilibre entre poésie et grotesque, philosophie et parodie, réalité et fiction.

  • Marina Otero
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Denis Sanglard

    Kill me aborde la folie frontalement et sans tabou.

    Crise de la quarantaine, amour toxique, violence et rupture, crise psychotique et diagnostique : borderline. Que résume lapidairement Marina Otero, la folie n’est que l’expression de l’amour à l’excès.

    Recommandation :
    f f f
  • Marina Otero
    Artistik rezo
    par Joséphine Brethomet

    “Kill me” : la suite de l’œuvre de Marina Otero

    Voici Kill Me, troisième volet du projet Recordar para vivir dans lequel Marina Otero se propose de présenter différentes versions de ses œuvres jusqu’au jour de sa mort.

  • Marina Otero
    La Terrasse
    par Delphine Baffour

    Un spectacle brut, violent et à la fantaisie débridée

    Kill me, troisième volet d’un triptyque faisant partie d’un projet auto-fictionnel qu’elle prévoit de poursuivre jusqu’à sa mort.

  • Marina Otero
    Sceneweb
    par Belinda Mathieu

    Le chaos jouissif de Marina Otero

    Avec Kill Me, la performeuse de Buenos Aires Marina Otero clôt un triptyque autofictionnel amorcé en 2020 avec Fuck Me, où elle se livre toute entière. Ici l’attention se déporte d’elle et de son histoire sur un groupe d’interprètes neuro atypiques comme elle, pour faire de la scène un espace d’émancipation.

  • Marina Otero
    Snobinart
    par Peter Avondo

    « Kill Me », le nouvel uppercut de Marina Otero

    Dans la lignée du succès rencontré avec ses premiers spectacles, l’artiste argentine arpente avec puissance et sensibilité l’un des grands maux de l’humain, l’amour fou.

  • Marina Otero
    L'Œil d'Olivier
    par Olivier Frégaville-Gratian d'Amore

    Marina Otero débride ses folies

    Avec sa nouvelle création, dernier volet de sa trilogie introspective, l’artiste argentine fait rougir les murs de la chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon et offre ce petit truc en plus, baroque et impudique, qui saisit, chamboule et secoue. Jubilatoire !