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Un fauteuil pour l'orchestrepar Denis Sanglard
Que reste-t-il au final d’une création, par essence éphémère ?
L’art vivant, l’art d’être vivant, ne tient-il qu’à la mémoire faillible, individuelle ou collective de ceux qui le traversent, acteurs et spectateurs ?
Recommandation :ff -
Un fauteuil pour l'orchestrepar Hoël Le Corre
Toujours avec ce regard d’enfant
Dans Je suis trop vert, on rencontre de nouveaux personnages et par les yeux des élèves de la 6eD se découvre à nous une campagne en proie à des questionnements essentiels :
Recommandation :fff -
Midi Librepar Vincent Pourrageau
Fiction et mémoire s’entremêlent
Marcial Di Fonzo Bo y incarne un homme confronté aux fantômes de la dictature argentine et de la France de Vichy, dans une enquête mêlant mémoire, fiction et histoire.
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Théâtre du blogpar Philippe du Vignal
Le jeu merveilleux et la générosité de cet acteur hors-normes
Raoul Fernandez sait mettre en valeur ce corps, et cela quel que soit le thème abordé. Il nous parlera de sa mère Betty, une merveilleuse couturière qui lui aura donné le goût de son métier mais aussi de son arrivée à Paris, quand il découvre le théâtre français et les comédiens.
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Webtheatrepar Véronique Hotte
La pièce de Lagarce re-visitée via l’incarnation émue des seconds rôles.
Une lecture aux didascalies ré-inventées et au pathos un peu appuyé - mais une démonstration vivante incarnée et un dessin animé de pantins blessés.
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Scenewebpar Eric Demey
« Juste la fin du monde », Lagarce à bras-le-corps
Guillaume Barbot présente une version de Juste la fin du monde de Lagarce qui n’en est pas simplement une de plus. Travaillant à la fois la langue et le concret des situations, le metteur en scène et sa troupe font résonner le texte en de multiples dimensions.
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Cult. newspar Luna Beaudouin-Goujon
Le poids lourd de l’absence de « Juste la fin du monde »
Guillaume Barbot s’empare du classique Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce, et souligne les dynamiques familiales de ce texte magnifique et cathartique. Un spectacle puissant sur les douleurs sourdes
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L'Humanitépar Jean-Pierre Léonardini
Une femme avec ses fantômes
C’est la parlerie d’une femme qui se raconte, entre sa province et Paris, dans une adresse permanente au public pris à témoin. À ce jeu-là, l’actrice Catherine Pietri excelle, dans le droit-fil d’une virtuosité enjouée qui masque le tragique.
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L'Œil d'Olivierpar Olivier Frégaville-Gratian d'Amore
Bovary Madame : le Honoré circus show
Dans l’arène imaginée par le metteur en scène, l’héroïne de Flaubert se fait funambule de sa propre existence. Sous les projecteurs d’une piste de cirque, affrontant jusqu’au vertige les hommes et les caprices qui l’ont menée à sa perte, elle vacille, sourit, résiste, se réinvente.
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Le club Mediapartpar Guillaume Lassere
Les conséquences ou la cruauté de la vie
De mariages en funérailles, Pascal Rambert dissèque dix ans de la vie d’une famille pour mieux interroger le poids de la transmission et de l’héritage. « Les conséquences » explore l’engagement, les illusions perdues et le théâtre lui-même. Face à l’épreuve, la parole détruit autant qu’elle répare.