• Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Denis Sanglard

    Que reste-t-il au final d’une création, par essence éphémère ?

    L’art vivant, l’art d’être vivant, ne tient-il qu’à la mémoire faillible, individuelle ou collective de ceux qui le traversent, acteurs et spectateurs ?

    Recommandation :
    ff
  • Image du spectacle
    David Lescot
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Hoël Le Corre

    Toujours avec ce regard d’enfant

    Dans Je suis trop vert, on rencontre de nouveaux personnages et par les yeux des élèves de la 6eD se découvre à nous une campagne en proie à des questionnements essentiels :

    Recommandation :
    fff
  • Image du spectacle
    Marcial Di Fonzo Bo, Davide Carnevali
    Midi Libre
    par Vincent Pourrageau

    Fiction et mémoire s’entremêlent

    Marcial Di Fonzo Bo y incarne un homme confronté aux fantômes de la dictature argentine et de la France de Vichy, dans une enquête mêlant mémoire, fiction et histoire.

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    Théâtre du blog
    par Philippe du Vignal

    Le jeu merveilleux et la générosité de cet acteur hors-normes

    Raoul Fernandez sait mettre en valeur ce corps, et cela quel que soit le thème abordé. Il nous parlera de sa mère Betty, une merveilleuse couturière qui lui aura donné le goût de son métier mais aussi de son arrivée à Paris, quand il découvre le théâtre français et les comédiens.

  • Image du spectacle
    Guillaume Barbot, Jean-Luc Lagarce
    Webtheatre
    par Véronique Hotte

    La pièce de Lagarce re-visitée via l’incarnation émue des seconds rôles.

    Une lecture aux didascalies ré-inventées et au pathos un peu appuyé - mais une démonstration vivante incarnée et un dessin animé de pantins blessés.

  • Image du spectacle
    Guillaume Barbot, Jean-Luc Lagarce
    Sceneweb
    par Eric Demey

    « Juste la fin du monde », Lagarce à bras-le-corps

    Guillaume Barbot présente une version de Juste la fin du monde de Lagarce qui n’en est pas simplement une de plus. Travaillant à la fois la langue et le concret des situations, le metteur en scène et sa troupe font résonner le texte en de multiples dimensions.

  • Image du spectacle
    Guillaume Barbot, Jean-Luc Lagarce
    Cult. news
    par Luna Beaudouin-Goujon

    Le poids lourd de l’absence de « Juste la fin du monde »

    Guillaume Barbot s’empare du classique Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce, et souligne les dynamiques familiales de ce texte magnifique et cathartique. Un spectacle puissant sur les douleurs sourdes

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana
    L'Humanité
    par Jean-Pierre Léonardini

    Une femme avec ses fantômes

    C’est la parlerie d’une femme qui se raconte, entre sa province et Paris, dans une adresse permanente au public pris à témoin. À ce jeu-là, l’actrice Catherine Pietri excelle, dans le droit-fil d’une virtuosité enjouée qui masque le tragique.

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    Christophe Honoré, Gustave Flaubert
    L'Œil d'Olivier
    par Olivier Frégaville-Gratian d'Amore

    Bovary Madame : le Honoré circus show

    Dans l’arène imaginée par le metteur en scène, l’héroïne de Flaubert se fait funambule de sa propre existence. Sous les projecteurs d’une piste de cirque, affrontant jusqu’au vertige les hommes et les caprices qui l’ont menée à sa perte, elle vacille, sourit, résiste, se réinvente.

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    Pascal Rambert
    Le club Mediapart
    par Guillaume Lassere

    Les conséquences ou la cruauté de la vie

    De mariages en funérailles, Pascal Rambert dissèque dix ans de la vie d’une famille pour mieux interroger le poids de la transmission et de l’héritage. « Les conséquences » explore l’engagement, les illusions perdues et le théâtre lui-même. Face à l’épreuve, la parole détruit autant qu’elle répare.