• Image du spectacle
    Davide Carnevali, Marcial Di Fonzo Bo
    Io Gazette
    par Auguste Poulon

    D’un pinceau délicat l’artifice véritable

    Une quête familiale et historique sur les traces de ces hommes et de ces femmes que la dictature des colonels qui a régné d’une main de fer sur l’Argentine de 1964 à 1974, a fait disparaître.

  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Denis Sanglard

    Analphabet est un fantôme, une folle andalouse, un esprit qui chuchote…

    Un violon pleure une plainte d’écorchée, un corps pâle et fantomatique surgit lentement de l’ombre comme à regret, des bras longs et graciles dessinent d’étranges et fines arabesques, soulignent le récit d’amours mortes, la morsure du désir, la soumission devant la violence qui aveugle.

  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Arts Mouvants
    par Sophie Trommelen

    Fantôme cabarétique et présence spectrale

    Le metteur en scène et performeur andalou Alberto Cortés apparaît dans la pénombre. Dans un jeu de clair-obscur, depuis un hypothétique Éden, flottant sur un tapis végétal, il déploie l’infini de son poème performé.

  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Sceneweb
    par Vincent Bouquet

    « Analphabet », la poétique spectrale d’Alberto Cortés

    Malgré la présence magnétique et singulière de son concepteur et interprète, Analphabet d’Alberto Cortés effleure, plus qu’elle ne la prend à bras-le-corps, la question de la violence machiste et des blessures causées par certaines relations entre hommes.

  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Libération
    par Cécile Daumas

    «Analphabet» d’Alberto Cortés, poétique égocentrique

    Au théâtre de la Bastille, le performeur espagnol, qui se produit pour la première fois en France, narre par le geste, les mots et l’autodérision ses amours traversées par la violence.

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  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Télérama
    par Emmanuelle Bouchez

    Les meilleures pièces à voir à Paris

    Espagnol, Alberto Cortés chante et l’on reconnaît tout de suite qu’il est question de corps et de désir. Jusqu’alors inconnu en France, l’Andalou sidère par sa présence hypnotique de faune sorti des plus anciennes mythologies.

    Recommandation :
    TTT
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  • Image du spectacle
    Alberto Cortés
    Le Monde
    par Joëlle Gayot

    Les « identités liquides » d’Alberto Cortes

    Le metteur en scène et performeur espagnol, en perpétuelle quête de poésie et de métamorphoses, est invité pour la première fois en France avec sa pièce « Analphabet ».

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  • Image du spectacle
    Pauline Viardot, David Lescot, Bianca Chillemi, Jérémie Arcache
    Le Monde
    par Marie-Aude Roux

    Coup de baguette magique pour l’opéra « Cendrillon »

    Le metteur en scène David Lescot et le compositeur Jérémie Arcache ressuscitent dans une nouvelle production le rare opéra de salon, composé en 1904.

     

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  • Image du spectacle
    Vincent Dedienne, Johanny Bert, Jean-Luc Lagarce
    Le Mensuel
    par Cédric Stanghellini

    Vincent Dedienne : Un seul-en-scène incandescent

    Le dispositif scénique est volontairement épuré : rideaux noirs, illustrations projetées en direct par la dessinatrice Irène Vignaud, lumière précise centrée sur le comédien. Tout converge vers ce qui compte ici : sa présence et les mots, ceux de Jean-Luc Lagarce

  • Image du spectacle
    Davide Carnevali, Marcial Di Fonzo Bo
    Sud-Ouest
    par Emmanuelle Debur

    Une mise en abîme virtuose

    Le comédien Marcial Di Fonzo Bo présente « Portrait de l’artiste après sa mort » au TNBA, une pièce en chausse-trappe sur les traces d’un musicien disparu durant la dictature argentine

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  • Image du spectacle
    Yuval Rozman
    Libération
    par Victor Inisan

    Yuval Rozman cherche la bonne hauteur

    Le metteur en scène né ­à Tel-Aviv clôt sa quadrilogie sur son pays natal avec une pièce où trois oiseaux amoraux font le procès du conflit israélo-palestinien.

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    Israel Galván, Mohamed El Khatib
    Les Inrocks
    par Philippe Noisette

    “Israel & Mohamed”, le touchant pas de deux d’Israel Galván et Mohamed El Khatib

    Rencontre au sommet entre les deux artistes, entre burlesque et mélancolie.

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  • Image du spectacle
    Yuval Rozman
    Artistik rezo
    par Hélène Kuttner

    « Au nom du ciel » ou les oiseaux de paix

    Comment parler avec humour et détachement du conflit israélo-palestinien qui dure depuis des décennies ? Dans une fable pleine d’ironie et de malice, l’artiste Yuval Rozman s’efforce de nous faire prendre une distance philosophique et céleste avec un dialogue entre trois oiseaux

  • Image du spectacle
    Yuval Rozman
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Nicolas Brizault-Eyssette

    Des difficultés israélo-palestiennes

    Yuval Rozman, d’origine israélienne. présente les difficultés israélo-palestiennes et a trouvé une très bonne idée pour évoquer un sujet pas évident du tout : demander à trois oiseaux…

  • Image du spectacle
    Israel Galván, Mohamed El Khatib
    Philosophie magazine
    par Cédric Enjalbert

    “Israel et Mohamed” : deux garçons aux pères questionnent le poids des héritages familiaux

    Le danseur Israel Galván et le metteur en scène et plasticien Mohamed El Khatib proposent un dialogue autour de la figure d’un père autoritaire qui les hante tous deux.

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    Christophe Honoré, Gustave Flaubert
    Les Inrocks
    par Patrick Sourd

    Quand Christophe Honoré bouscule Flaubert et réhabilite son héroïne

    Avec le cirque comme révélateur et une fabuleuse bande d’interprètes, le cinéaste et metteur scène rend à Emma Bovary sa qualité de femme libre sans jugement ni moralisme.

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    Christophe Honoré, Gustave Flaubert
    La Terrasse
    par Manuel Piolat Soleymat

    Christophe Honoré propose un étonnant « Bovary Madame »

    La terre battue d’une piste de cirque. L’une des héroïnes les plus connues de la littérature. Une troupe de remarquables interprètes. Une mise en scène joyeuse, inventive, libre… Une surprenante immersion dans la matière d’une vie de roman.

     

     

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    Carolina Bianchi
    Les Inrocks
    par Jean-Marie Durand

    “The Brotherhood” de Carolina Bianchi : un éveil révolté

    Carolina Bianchi élargit le récit de sa vie traumatisée en cherchant à comprendre d’où surgit la violence masculiniste et pourquoi le théâtre l’a toujours abritée impunément.

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    Carolina Bianchi
    Le club Mediapart
    par Milène Lang

    « The Brotherhood » de Carolina Bianchi : la prochaine fois, le feu

    Seule femme sur scène entourée de 8 comédiens, elle explore la « Brotherhood », cette fraternité masculine qui structure la société et le monde de l’art, nourrit le mythe du génie, annihile les femmes, et en révèle les mécanismes oppressifs.

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    Carolina Bianchi
    Pleins feux
    par Camille Doucet

    Généalogie des génies

    Consacrée aux agresseurs et à la solidarité masculine comme instrument de ce langage de violence, cette pièce d’une très grande actualité repose — entre autres— la question de la séparation entre l’homme et l’artiste à l’aune de la notion de génie.