Théâtre 2000-2012 (Les Rêves ; Oxygène ; Genèse n° 2 ; Danse "Delhi" ; Illusions ; Les guêpes de l’été... ; Les Enivrés)
Tout ce que je dis et ce que j’écris ici‚ je le fais pour vous‚
pour ceux qui lisent et écoutent.
Sachez que cela je l’écris aussi par malice.
J’espère que vous mettrez tout cela en voix.
J’écris en sachant qu’on va écouter cette lettre.
Lettre de Antonina Velikanova à Ivan Viripaev,
in, Genèse n° 2
Textes de l'ouvrage
Voir le descriptif dans la page de chaque titre :
- Les Rêves (2000)
- Oxygène (2003)
- Genèse n° 2 (2004)
- Danse « Delhi » (Pièce en sept pièces)(2009)
- Illusions (2011)
- Les guêpes de l’été nous piquent encore en novembre (2012)
- Les Enivrés (2012)
Presse
"Illusions" mise en scène par Olivier Maurin.
Illusions de Viripaev, un grand spectacle d’amour à quatre
On sourit, cueilli par l’humour planqué au coin d’une phrase, comme on vibre à ce château de cartes des illusions qui tombent une à une jusqu’à ce que mise à nu s’ensuive. « Une petite pause s’impose », comme le répète l’auteur dans un rythme savamment orchestré .
[Luc Hernandez, Exit Mag, juin 2023]
"Illusions" mise en scène par Yordan Goldwaser.
Une parole qui parce qu’elle n’est pas tout à fait quotidienne interroge le quotidien
« Bonjour. Je veux vous parler d’un couple marié. Des gens formidables. Ils ont vécu ensemble cinquante-deux ans ». [...] Là, tout de suite, c’est la parole elle-même qui attire notre curiosité.
[Anaïs Heluin, sceneweb, janvier 2024]
À la fois quotidien et métaphysique
Monde trouble et insaisissable dans lequel la vérité ou la raison échappe, un théâtre drôle et mystique, entre comédie et absurde, tissé de cette étoffe sensible et sentie des jours qui passent.
[Véronique Hotte, hotello, janvier 2024]
"Illusions" mis en scène par Dylan Ferreux et Martin Jaspar, Casino Théâtre de Rolle, du 22 au 25 février 2024
Quand les metteurs en scène Dylan Ferreux et Martin Jaspar l’ont lu pour la première fois, ils ont eu le coup de foudre.
« Nous avons adoré sa façon originale d’aborder des poncifs du théâtre, comme l’amour et la mort, avec beaucoup d’humour et une grande profondeur philosophique », remarque Dylan Ferreux.
[Maxime Maillard, La Côte, février 2024]