Philippe Minyana

Portrait_FB_05_2023

Dernières critiques

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana
    L'Humanité
    par Jean-Pierre Léonardini

    Une femme avec ses fantômes

    C’est la parlerie d’une femme qui se raconte, entre sa province et Paris, dans une adresse permanente au public pris à témoin. À ce jeu-là, l’actrice Catherine Pietri excelle, dans le droit-fil d’une virtuosité enjouée qui masque le tragique.

    (abonnés)
  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    Le Courrier de l'Ouest
    par Lelian

    Le costume fait l’artiste… l’artiste fait le costume

    Raoul, c’est Raoul Fernandez, natif de El Tránsito au Salvador (Amérique Centrale), costumier de son métier, acteur-chanteur de son essence, homme-femme de son état.

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    L'Humanité
    par Samuel Gleyze-Esteban

    Un gamin du Salvador qui rêve de la France

    Dans Il s’en va, le récit que l’acteur et costumier raconte (et chante) est celui d’un gamin du Salvador né avec un fil et une aiguille dans la main

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    Balagan
    par Jean-Pierre Thibaudat

    Raoul Fernandez au pays des anges

    Après « Le portrait de Raoul » qui nous racontait la vie de cette bête de scène à tout faire qu’est Raoul Fernandez (jeu, chant, costumes, etc.), dans « Il s’en va » ; Philippe Minyana explore la vie de Raoul après sa mort . On est aux anges

  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    Sceneweb
    par Anaïs Heluin

    « Il s’en va », le grand retour de Raoul Fernandez

    Ce seul en scène d’une très grande délicatesse nous parle autant de la vie romanesque du comédien que de la beauté du théâtre lorsque ses différents métiers sont unis par l’amitié.

    Recommandation :
    Coup de cœur
  • Image du spectacle
    Philippe Minyana, Marcial Di Fonzo Bo
    L'Œil d'Olivier
    par Olivier Frégaville-Gratian d’Amore

    Oraison burlesque

     Raoul Fernandez revient, toujours aussi insaisissable, plus vaporeux, plus habité, moins linéaire, mais tout aussi magnétique.

  • Image du spectacle
    Hugues Quester, Laurent Charpentier, Philippe Minyana
    Le Temps
    par Alexandre Demidoff

    A Paris, le magnétique Hugues Quester célèbre les ombres d'une enfance française

    Toujours déchirant, le grand comédien français se glisse dans «Fantômes», pièce où tout chuchote de Philippe Minyana, au Théâtre de la Ville.

    (abonnés)
  • Image du spectacle
    Hugues Quester, Laurent Charpentier, Philippe Minyana
    Théâtre du blog
    par Christine Friedel

    Ces Fantômes ont émergé à trois

    Le texte de Philippe Minyana, Laurent Charpentier qui le met en scène et Hugues Quester qui brûle de le jouer.

  • Image du spectacle
    Hugues Quester, Laurent Charpentier, Philippe Minyana
    Sceneweb
    par Anaïs Heluin

    De trop précieux « Fantômes »

    Grand connaisseur de l’écriture de Philippe Minyana pour l’avoir beaucoup arpentée, Laurent Charpentier y revient avec Fantômes. Il s’y met en scène avec Hugues Quester, en appuyant trop sur la part poétique et artificielle de l’écriture pour en faire apparaître aussi la dimension très concrète. L’allure précieuse de cette traversée de la mémoire familiale fait obstacle à sa profondeur.

  • Image du spectacle
    Hugues Quester, Laurent Charpentier, Philippe Minyana
    Un fauteuil pour l'orchestre
    par Sylvie Boursier

    Vies minuscules

    On commence par la fin avec le cri d’Hugues (Quester), un cri de bête, une déflagration « ta mère est crevée ». Crevée !!! Comme s’il s’agissait d’un animal ou d’un végétal, on dit « la glycine est crevée… ». Mais une mère, suicidée en plus ?

    Recommandation :
    ff