
Sur l'auteur
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Le Mondepar Mohamed El Khatib
« Dès que l’arabe résonne, c’est une musique sinistre qui l’accompagne. »
Alors que l’arabe est la langue invitée d’honneur du Festival d’Avignon, qui se tiendra du 5 au 26 juillet, le metteur en scène partage, dans une tribune au « Monde », son regret d’avoir laissé sa langue maternelle se perdre...
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Le Quotidien de l'Artpar Zineb Soulaimani
Mohamed El Khatib : « L’esthétique est un levier puissant de transformation sociale »
Et si l’on transformait un palais en autel, et l’exposition en conversation silencieuse avec les absents ? Avec « Le grand palais de ma mère », Mohamed El Khatib détourne l’institution depuis l’intérieur et réinvente les usages de l’espace muséal.
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Les Inrockspar Patrick Sourd
“Le Grand Palais de ma mère”, une expo au cœur des passions populaires
S’amusant du côté ludique de la présentation de ses travaux, Mohamed El Khatib constate avec humour qu’il transforme en un souk géant la nef centrale du Grand Palais.
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Cult. newspar Amélie Blaustein-Niddam
« Notre musée », Mohamed El Khatib expose l’intime
Notre musée reprend peu ou prou le dispositif de La vie des objets. Nous étions en 2021, au Maif Social Club, et il exposait, en compagnie de Yohanne Lamoulère, des objets qui n’avaient en apparence rien de précieux. C’étaient des objets d’exil, la petite chose qui, si elle n’est pas chargée de l’histoire de celui qui la sait, ne vaut rien.
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Le Figaropar Nathalie Simon
Mohamed El Khatib : « Je ne veux plus faire de pièce pour la scène »
Portrait. Six spectacles, des expositions et des rencontres… Rétrospective au Grand Palais, à Paris. Après, l’artiste souhaite arrêter le théâtre traditionnel.
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Sceneweb
Une rétrospective Mohamed El Khatib au GrandPalaisRmn
Le Grand Palais de ma mère revient sur son parcours à travers un format inédit mêlant expositions, spectacles, rencontres et DJ sets.
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Libérationpar Laurent Goumarre
Mon premier Festival d’Avignon, par Mohamed El Khatib
Le metteur en scène, qui présente cette année «la Vie secrète des vieux», raconte ses premiers pas à Avignon, en 2003, l’année des annulations et des grèves.
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