Dernières critiques
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Théâtre du blogpar Christine FriedelFinalement, nous croyons aux fantômes
Nul besoin de linceuls, chaînes, cris étranges dans la nuit. Nous avons mieux avec ces images papier, sans parler des virtuelles qui nous accompagnent partout.
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Téléramapar Fabienne PascaudPhilippe Minyana, ou la démesure de nos vies familières
À Paris, le Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt et Les Plateaux sauvages donnent à voir deux spectacles du brillant dramaturge.
Recommandation :TTT(abonnés)
Philippe Minyana
L'Humanitépar Jean-Pierre LéonardiniUne femme avec ses fantômes
C’est la parlerie d’une femme qui se raconte, entre sa province et Paris, dans une adresse permanente au public pris à témoin. À ce jeu-là, l’actrice Catherine Pietri excelle, dans le droit-fil d’une virtuosité enjouée qui masque le tragique.
(abonnés)
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Le Tempspar Alexandre DemidoffA Paris, le magnétique Hugues Quester célèbre les ombres d'une enfance française
Toujours déchirant, le grand comédien français se glisse dans «Fantômes», pièce où tout chuchote de Philippe Minyana, au Théâtre de la Ville.
(abonnés)
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Théâtre du blogpar Christine FriedelCes Fantômes ont émergé à trois
Le texte de Philippe Minyana, Laurent Charpentier qui le met en scène et Hugues Quester qui brûle de le jouer.
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Scenewebpar Anaïs HeluinDe trop précieux « Fantômes »
Grand connaisseur de l’écriture de Philippe Minyana pour l’avoir beaucoup arpentée, Laurent Charpentier y revient avec Fantômes. Il s’y met en scène avec Hugues Quester, en appuyant trop sur la part poétique et artificielle de l’écriture pour en faire apparaître aussi la dimension très concrète. L’allure précieuse de cette traversée de la mémoire familiale fait obstacle à sa profondeur.
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
Un fauteuil pour l'orchestrepar Sylvie BoursierVies minuscules
On commence par la fin avec le cri d’Hugues (Quester), un cri de bête, une déflagration « ta mère est crevée ». Crevée !!! Comme s’il s’agissait d’un animal ou d’un végétal, on dit « la glycine est crevée… ». Mais une mère, suicidée en plus ?
Recommandation :ff
Philippe Minyana, Laurent Charpentier, Hugues Quester
La Terrassepar Manuel Piolat SoleymatDeux amis et des vieilles photos
Dans la petite salle du nouveau Théâtre Sarah Bernhardt, baptisée La Coupole, Laurent Charpentier met en scène Fantômes, de Philippe Minyana. Il est également l’interprète, aux côtés d’Hugues Quester, de ce texte sur la survivance et la réminiscence de certaines voix, de certaines existences.