Prix et récompenses
Sélections
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DateNomAu programme du baccalauréat de français de 2021 à 2024, pour les classes de premièresLien
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DateNomDocumentation pédagogique sur Théâtre en Acte (accès réservé aux enseignants)Lien
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DateNomNomination Molière 2008 "Création en région" pour la mise en scène de François BerreurLien
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DateNomAu programme du baccalauréat en spécialité théâtre en 2008
Juste la fin du monde
Préface de Jean-Pierre Sarrazac
Texte intégral - Le texte de la pièce correspond à l’édition établie en 2007.
Nouvelle édition augmentée (annexes enrichies - la pagination de la pièce reste inchangée).
Présentation
Le fils retourne dans sa famille pour l’informer de sa mort prochaine. Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l’on se dit l’amour que l’on se porte à travers les éternelles querelles. De cette visite qu’il voulait définitive, le fils repartira sans avoir rien dit.
Une reconnaissance nationale et internationale
Juste la fin du monde, mis en scène pour la première fois par Joël Jouanneau en 1999, est régulièrement monté tant sur les scènes nationales que internationales et a été traduit en dix-huit langues. Cette pièce entre au répertoire de la Comédie-Française en 2007, avec la mise en scène de Michel Raskine (récompensée par le Molière du meilleur spectacle). Au programme de l’option théâtre du baccalauréat en 2008, 2009 et 2010, elle est inscrite à celui de l’agrégation de lettres classiques et modernes en 2012. En 2016, Juste la fin du monde est adapté au cinéma par Xavier Dolan qui reçoit pour son film le Grand Prix du Festival de Cannes.
Au baccalauréat
En 2020, la pièce intègre la liste des œuvres inscrites au programme de français de première pour les épreuves anticipées du baccalauréat sections générales et technologiques.
Ressources pédagogiques
Retrouvez une sélections de ressources diverses pour l'étude de Juste la fin du monde sur theatre-contemporain.net.
Presse
À propos de la mise en scène d'Hugo Favier au théâtre du Rideau (Belgique), janvier 2024.
« Juste la fin du monde » : les mots résonnent dans le vide
Ils deviennent des outils déterminants d’expression. Tantôt d’amour, tantôt de violences stigmatisantes. Dans « Juste la fin du monde », les êtres pensent tout haut. Dans des monologues, des trop-pleins de mots, des cris tendres et durs, la famille reprend contact. Elle ne possède que cette parole. [...] Au fil des minutes, les langues se délient dans cette pièce qui révèle avec émotion toute la complexité de l’être humain.
[Louis Thiébaut, RTBF, janvier 2024]
Un huis clos familial bouleversant
... dans une première mise en scène audacieuse de Hugo Favier.
[Laurence Bertels, La Libre, janvier 2024]