Troisième volet de sa Quadrilogie de ma Terre, Ahouvi (mon amour) de Yuval Rozman ausculte la relation de l’Israélienne Tamar et du Français Virgile qui s’imprègne de violence. Une partition ancrée dans l’ordinaire, nourrie de déchirements qui demeurent souterrains. 

Israélien, militant de la paix, en exil en France pour pouvoir continuer à travailler, Yuval Rozman présente sa pièce «Ahouvi» («Mon amour») au théâtre du Rond-Point.

Avec « Ahouvi », l’auteur et metteur en scène israélien Yuval Rozman ausculte la dérive d’une relation de couple gangrenée par la violence d’un homme.

Le rendez-vous pour l’interview avec Yuval Rozman avait été fixé au 11 octobre, quelques semaines en amont de la première d’“Ahouvi” au théâtre du Rond-Point à Paris.

Au Rond-Point, l’artiste israélien Yuval Rozman présente Ahouvi, sa nouvelle pièce sur un amour infini, absolu, qui finit forcément mal.

Après s’être intéressé avec un humour assassin à sa judéité et aux rapports israélo-palestiniens, l’auteur et metteur en scène israélien Yuval Rozman, 39 ans, se penche sur le couple (ahouvi signifie « mon amour » en hébreu).

L’auteur et metteur en scène Yuval Rozman présente une bouleversante histoire d’amour déliquescente entre un Français et une Israélienne.

Quoi de plus banal qu’une histoire d’amour qui naît, grandit et se rompt.