En secourant les mortels j’ai cherché les ennuis
Pourtant ce supplice
Je ne pouvais l’imaginer
Dépérir ainsi
Cloué à cette falaise au-dessus de l’abîme
À cette paroi de pierre nue et solitaire
Mais au lieu de pleurer sur mes malheurs
Mettez pied à terre pour écouter le sort qui m’attend