Dernières critiques
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Scenewebpar Marie PlantinTal Reuveny, d’une langue à l’autre
Au bout de ma langue انا لا اشتكي raconte, à hauteur d’enfant et sous la houlette de Tal Reuveny, le déracinement langagier de l’exil et le chemin d’acceptation pour vivre au présent. Comment sa propre langue peut-elle devenir une madeleine de Proust dès lors qu’on la quitte ?
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Cult. newspar Julia WahlSimon Grangeat et Tal Reuveny explorent la dysphorie linguistique
Au bout de ma langue, qui interroge le rapport des immigré·es à la langue d’origine et à la langue d’adoption.
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L'Humanitépar Jean-Pierre LéonardiniUne mère toxique, qu’elle ne peut plus supporter
L’Infâme une sorte d’idéal modèle à proposer à un public jeune
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Scenewebpar Marie Plantin« L’Infâme » : je brode donc je suis
En un joli binôme dynamique et complémentaire, elles insufflent à la partition signée Simon Grangeat l’élan de leur jeunesse et leur précision de jeu,
Recommandation :A voir -
Les Trois coupspar Trina MounierLes deux faces de Laurent Fréchuret
Laurent Fréchuret est un caméléon qui passe avec aisance d’un univers à l’autre. En Avignon, il présente à la fois « Fin de partie », une pièce du répertoire pour quatre acteurs formidables, et « L’Infâme »de Simon Grangeat, une commande passée à un auteur.
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Théâtre du blogpar Philippe du VignalCela se passe en quarante-cinq minutes
Cette courte pièce, bien écrite et remarquablement jouée par deux ex-élèves de l’E.N.S.A.T.T., toujours très justes et remarquables.
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La Terrassepar Catherine RobertUn théâtre de proximité
Médée, Folcoche, Madame Fichini : pour tordre le cou au mythe de l’instinct maternel, il suffit de relire la littérature. Simon Grangeat s’inscrit dans cette veine avec un texte puissant, servi par deux jeunes comédiennes solaires, remarquablement mises en scène par Laurent Fréchuret.
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Froggy's delightpar Nicolas ArnstamUn spectacle elliptique riche de sens
Admirablement dirigées par Laurent Fréchuret, Louise Bénichou et Alizée Durkheim-Marsaudon, formidables, montrent beaucoup de sincérité dans ce spectacle aussi prenant que singulier, créé pour être joué dans les classes de collèges et lycées.
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Snobinartpar Peter AvondoL’humain aux frontières du réel dans « Le Jour de l’ours »
À Nîmes, Le Périscope accueillait hier la compagnie Les Petites Gens avec la pièce Le Jour de l’ours. Dans une ambiance pesante et prenante, quatre personnages délités y évoluent dans une montagne aux frontières du réel, où semble se libérer tout un pan sombre de la nature humaine…
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La Terrassepar Anaïs HeluinLe théâtre politique à hauteur d’enfant
Fruit d’une collaboration entre l’auteur Simon Grangeat et le metteur en scène Christian Duchange, Comme si nous… L’assemblée des clairières offre au jeune public un espace de réflexion politique, par l’imaginaire.



