La Pensée, la poésie et le politique (Dialogue avec Jack Ralite)
Présentation
Ces entretiens sont suivis d’une sélection de paroles publiques de Jack Ralite.
Homme politique et communiste singulier, passionné de théâtre, ami d’Aragon, de Jean Vilar, complice d’Antoine Vitez, Jack Ralite est de cette époque où les acteurs politiques et les artistes tentaient de nouvelles voies de discussion. Il est aussi celui qui, depuis plus de cinquante ans, ne cesse de secouer le champ du politique. Il a pour les poètes un véritable amour et ses discours et analyses sont pétris de ses échanges avec eux.
En délaissant le dialogue avec les poètes, les hommes et femmes politiques contemporains ont abandonné un de leurs plus beaux outils : le pouvoir des mots. Ce livre est une réflexion partagée, ouverte, sur les enjeux des prochaines politiques culturelles autant que sur ce foyer de créativité et de résistance qu’est la langue.
Rencontre aux Ateliers de la pensée au Festival d'Avignon 2015 entre Jack Ralite et Karelle Ménine.
La presse
Jack Ralite, portrait libre en cinq actes
Voilà un petit ouvrage à mettre entre toutes les mains. Un livre qui brosse, entre les lignes, le portrait d’un homme politique d’envergure, un homme qui a exercé les plus hautes responsabilités au niveau de l’État, de son parti, de sa ville, fondateur des « états généraux » sans jamais renier ses convictions...
Marie-José Sirach - L'Humanité, 7 septembre 2015
Jack Ralite est-il le plus grand ministre de la culture de tous les temps ?
A lire comme à écouter Jack Ralite, on songe aux pages superbes du Marbrier de Carrare de Charles Péguy : tailler dans l’excès de matière qui enveloppe la forme, la sculpter par soustractions successives, être l’artisan au geste humble et sûr…
Fabienne Arvers, Les Inrocks, 31 août 2015
Par la complicité de la pensée
Avignon – Entretien Jack Ralite et Karelle Ménine
Sylvia Botella, Culture RTBF, 31 juillet 2015
Jack le mordant Ralite en trois mots : pensée, poésie, politique
C’est un homme redoutable, dangereux pour tous les politiciens, mammifères toujours prompt à balancer en cas d’attaque les grenades asphyxiantes de la langue de bois. Lui, son arme tient dans la poche de sa veste, c’est un livre, un livre de poésie.
Jean-Pierre Thibaudat, Balagan / Médiapart, 5 juillet 2015