Les guêpes de l'été nous piquent encore en novembre (suivi de) Illusions
Ce titre est désormais disponible dans : Théâtre 2000-2012
Présentation
Tu n’es pas seul, mon vieil ami. Parce que nous sommes avec toi, mon pote. Nous sommes tes fidèles amis, Sarra, moi, Marta et Markus, nous t’aimons tous. Crois-nous. Nous t’aimons, notre très cher, Donald. Et nous t’aiderons, nous te soignerons, nous ferons appel aux meilleurs docteurs, aux meilleurs psychothérapeutes, aux meilleurs psychiatres.
Ivan Viripaev avec Les guêpes de l’été nous piquent encore en novembre nous propose une comédie de salon qui s’achemine vers la tragédie métaphysique avec des personnages qui téléphonent, sont morts de rire, émoustillés par l’alcool ou dévorés par l’inquiétude. Dans Illusions, quatre narrateurs viennent conter l’histoire de deux couples mariés qui, au terme d’une vie bien remplie, tentent de se dire leurs vérités, de s’avouer leurs joies et leurs résignations. Que reste-il quand tout a été vécu et que tout n’a pas été comme on l’imaginait ?
En scène
Les guêpes de l’été nous piquent encore en novembre : Création au Théâtre du Rond-Point à Paris le 17 mars 2015, dans une mise en scène du collectifs ildi!eldi.
Illusions : Création à l'ACB – scène nationale de Bar-le-Duc le 5 mars 2015, dans une mise en scène de Julia Vidit.
Presse
"Illusions" mis en scène par Guillaume Cantillon, Théâtre du Rocher, 2 au 7 mai 2023
On est plongé au cœur de l’humanité, au cœur des sentiments et de la métaphysique
Viripaev, comme dans beaucoup de ses textes s’amuse avec la forme même de l’écriture théâtrale, navigant entre le récit, les dialogues et les didascalies sans en marquer les différences. Mais à côté de cet apparent goût pour brouiller les pistes, il pose aussi un regard plein de tendresse et d’empathie sur ses personnages.
[Floriane, Presse Agence]
"Illusions" mis en scène par Dylan Ferreux et Martin Jaspar, Casino Théâtre de Rolle, du 22 au 25 février 2024
Quand les metteurs en scène Dylan Ferreux et Martin Jaspar l’ont lu pour la première fois, ils ont eu le coup de foudre.
« Nous avons adoré sa façon originale d’aborder des poncifs du théâtre, comme l’amour et la mort, avec beaucoup d’humour et une grande profondeur philosophique », remarque Dylan Ferreux.
[Maxime Maillard, La Côte, février 2024]